lundi 28 avril 2025

La Montaña No Es Lo Mío, Peña Solano

Bon, visiblement, j’avais un peu lâché ce petit blog.
Les années ayant coulé sous les ponts, et pensant avoir fait le tour de ce que l’escalade pouvait m’apporter, j’avais mis de côté cette saugrenue pratique sportive.

L’approche imminente de la trentaine a toutefois provoqué en moi un soudain élan de motivation sportive (sûrement une forme de démence sénile, ça doit être ça…), qui m’a amené à rechausser les chaussons depuis janvier.

Samedi dernier, avec Mélo, on a profité d’un court créneau de beau temps côté espagnol pour aller faire une jolie petite voie à la Peña Solano.


Sur les conseils d’un célèbre ouvreur pyrénéen — que nous appellerons Xavier G. pour préserver son anonymat — nous sommes allés dans La montaña no es la mía.

Bon, déjà, le topo donne envie, c’est un bon début.

Pas trop de marche, des goujons à foison, et des cotations plutôt généreuses : moi, il ne m’en faut pas beaucoup plus pour être heureux.

La paroi était un peu mouillée dans la première longueur, mais forts de notre expérience de canyonistes, ça n’a pas posé trop de problème.

L’escalade est crescendo, et ça se termine par une super longueur de 50 m en 7a.


Les longueurs :

  • L1 (6a) : même mouillée, ça passe bien.

  • L2 : le pas se trouve au début, ensuite c’est tranquille.

  • L3 (6c) : un petit réta qui passe plus ou moins facilement, mais qui demande un peu de biceps.

  • L4 (6c+) : un pas un peu costaud au début, puis c’est assez homogène.

  • L5 (7a) : homogène tout du long, sans (trop de) mauvaises surprises.


On est redescendus en rappels.

Quelques photos !










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